Spartacus Du Sang et du Cran [Série]
Spartacus Blood and Sand est la nouvelle série inspirée de Rome qui vient de sortir sur Starz aux Etats-Unis. Sortira t'elle en vainqueur de son combat à mort contre la série Rome, dans l'arène médiatique ?...
2 préalables pour commencer. Le 1er est que ce billet fera l'objet de mises à jour. Lorsque j'aurai pu visionner un épisode et me rendre compte par moi-même...
Et là, je suis furax. Vendredi dernier, le 1er épisode de la série était en streaming gratuit sur Starz, aujourd'hui plus rien. "Vidéo indisponible"... J'apprécie moyen. Et lorsque j'aurai visionné l'intégrale de la série Rome, que j'ai eu à Noël ! Somme toute, 2 tâches bien agréables pour vous être utile.
Rome inspire encore et toujours. La série Rome, qui a mis la barre très haute en matière de moyens et de reconstitution, voit débouler son petit frère turbulent : Spartacus du sang et de la poussière. D'entrée de jeu, les couleurs sont annoncées. Cela sent la testostérone à plein nez. Voici le pitch, comme on dit...
"Betrayed by the Romans. Forced into slavery. Reborn as a Gladiator. The classic tale of the Republic’s most infamous rebel comes alive in the graphic and visceral new series, "Spartacus: Blood and Sand." Torn from his homeland and the woman he loves, Spartacus is condemned to the brutal world of the arena where blood and death are primetime entertainment. But not all battles are fought upon the sands. Treachery, corruption, and the allure of sensual pleasures will constantly test Spartacus. To survive, he must become more than a man. More than a gladiator. He must become a legend."
C'est de la bonne machine à muscle américaine. Pour survivre, Spartacus doit devenir une légende. Tout un programme. En fait, pour tout vous dire, je suis très enthousiasmé à l'idée de vous faire découvrir quelque chose de nouveau, qui a trait à Rome et qui attisera votre curiosité comme la mienne, j'en suis sûr...
... sentiment partagé avec la sensation que le titre pourrait être "sexe, sang et arène". L'outrance et la surenchère semblent être les maîtres mots d'une série, qui ressemble un peu à un jeu vidéo dans la manière de filmer les combats...
Je ne boude pas mon plaisir et reste très excité à l'idée de découvrir la série si je le peux. Comme je vous le disais, je mettrais à jour le billet après mes heures de projection, mais d'ores et déjà, pouvez-vous imaginez que Spartacus Blood and Sand tue le père (Gladiator, j'adore) et trahisse son frère (La série Rome) ? Ce serait bien dans l'esprit de la série, non ?
Spartacus sur Excessif.com
Mises à jour...
Spartacus bat des records d'audience sur Starz
Spartacus Blood and Sand - Vengeance Trailer
Spartacus Blood and Sand - Gladiator Oath Trailer
Spartacus Blood and Sand - Spartacus Trailer
Spartacus Blood and Sand - Gladiators Trailer
Spartacus Blood and Sand - The Women Trailer
Vos Chemins Mènent à Rome
2 préalables pour commencer. Le 1er est que ce billet fera l'objet de mises à jour. Lorsque j'aurai pu visionner un épisode et me rendre compte par moi-même...
Et là, je suis furax. Vendredi dernier, le 1er épisode de la série était en streaming gratuit sur Starz, aujourd'hui plus rien. "Vidéo indisponible"... J'apprécie moyen. Et lorsque j'aurai visionné l'intégrale de la série Rome, que j'ai eu à Noël ! Somme toute, 2 tâches bien agréables pour vous être utile.
Rome inspire encore et toujours. La série Rome, qui a mis la barre très haute en matière de moyens et de reconstitution, voit débouler son petit frère turbulent : Spartacus du sang et de la poussière. D'entrée de jeu, les couleurs sont annoncées. Cela sent la testostérone à plein nez. Voici le pitch, comme on dit...
"Betrayed by the Romans. Forced into slavery. Reborn as a Gladiator. The classic tale of the Republic’s most infamous rebel comes alive in the graphic and visceral new series, "Spartacus: Blood and Sand." Torn from his homeland and the woman he loves, Spartacus is condemned to the brutal world of the arena where blood and death are primetime entertainment. But not all battles are fought upon the sands. Treachery, corruption, and the allure of sensual pleasures will constantly test Spartacus. To survive, he must become more than a man. More than a gladiator. He must become a legend."
C'est de la bonne machine à muscle américaine. Pour survivre, Spartacus doit devenir une légende. Tout un programme. En fait, pour tout vous dire, je suis très enthousiasmé à l'idée de vous faire découvrir quelque chose de nouveau, qui a trait à Rome et qui attisera votre curiosité comme la mienne, j'en suis sûr...
... sentiment partagé avec la sensation que le titre pourrait être "sexe, sang et arène". L'outrance et la surenchère semblent être les maîtres mots d'une série, qui ressemble un peu à un jeu vidéo dans la manière de filmer les combats...
Spartacus Blood and Sand - Trailer
Je ne boude pas mon plaisir et reste très excité à l'idée de découvrir la série si je le peux. Comme je vous le disais, je mettrais à jour le billet après mes heures de projection, mais d'ores et déjà, pouvez-vous imaginez que Spartacus Blood and Sand tue le père (Gladiator, j'adore) et trahisse son frère (La série Rome) ? Ce serait bien dans l'esprit de la série, non ?
Spartacus sur Excessif.com
Mises à jour...
Spartacus bat des records d'audience sur Starz
Spartacus Blood and Sand - Vengeance Trailer
Spartacus Blood and Sand - Gladiator Oath Trailer
Spartacus Blood and Sand - Spartacus Trailer
Spartacus Blood and Sand - Gladiators Trailer
Spartacus Blood and Sand - The Women Trailer
Vos Chemins Mènent à Rome
Commentaires
"Ouverture exceptionnelle de l'amphithéâtre Romain, avec projection, à la nuit tombée, du film Spartacus."
Nous y courûmes. Nous, c'est à dire moi et mon meilleur ami, mon jumeau, compagnon idéal de ce genre d'aventure.
Nous sommes arrivés al tramonte.
L'amphithéâtre était à imaginer. Il ne restait qu'un pan de mur, contre lequel l'écran allait être installé, et l'ébauche de quelques gradins.
Les fouilles avaient été interrompues, faute de budget...
Ce lieu dégageait un mélange de charme, et de mystère.
Sur cette colline herbeuse où nous étions allongés, des milliers d'années auparavant d'autres spectateurs attendaient comme nous, un tout autre spectacle.
Cette pensée n'arrivait pas à nous troubler.
D'autres s'installaient, et comme c'était assez pentu, nous glissions les uns sur les autres. Des rires fusaient, l'excitation palpitait comme des lucioles.
Le cadre était superbe.
Des herbes folles avaient peu à peu envahi les lieux.
C'était la fin d'une belle journée d'été, l'air était encore doux, le ciel peu à peu se teintait de gris, puis d'ombres de plus en plus profondes.
Les premières étoiles apparurent, et nous avions, tous, les yeux perdus dans l'immensité de l'univers.
Il s'est mis à faire frais, puis froid. L'humidité a détrempé le sol. Le film, un des premiers peplum, tourné en studio avec de bien peu crédibles lions faméliques, prêtait à rire.
Mais il en aurait fallu bien plus pour altérer notre allégresse.
Bien après que le mot FINE se soit inscrit sur l'écran, personne ne bougeait. Comme si le premier à se relever allait rompre le charme.
Il fallut pourtant quitter les lieux, et nous sommes rentrés...
Silencieux, un sourire accroché aux lèvres, les yeux brillants, encore ailleurs, perdus dans une rêverie hors du temps.
Cela remonte à près de 15 années et je retrouve intact ce moment, qu'un seul mot, Spartacus, a suffit à me rendre... comme si cela s'était passé hier.
Il y a bien longtemps que je ne passais pas par ton blog...
Je le fais d`après la joli photo de Orsay que a publiè Anna. Une image fantastique.
Amities
Elisa, Argentine
je vois par ton détour à la Sorbonne que tu as été très studieuse.
A bientôt